À PROPOS
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Le grincement de la molette
d’un Kodak jetable est l’une de
mes plus grandes madeleines de Proust.

Tout commence un matin de décembre 1989. Enfin « tout »… ma vie à moi commence. 
Entre la France rurale paternelle et l’Italie immigrée maternelle, je garde précieusement de mon enfance les souvenirs de grandes tablées qui s’agitent autour de débats, de rires, souvent accompagnés d’une guitare et de chants. Les nombreux moments de jeux entre cousins et cousines, les débuts des liens forts qui se tissent et qui transforment en silence les liens familiaux en liens d’amitiés. Et ces boites à chaussures remplies de photos ou encore ces albums poussiéreux qu’on sort au (pousse-) café pour se remémorer des moments jaunis par le temps.
Mon premier rapport à l’image, sans réaliser vraiment la préciosité de ces objets-là. Ces Polaroïds qui crispaient les traits pour tenir une pose sans flou artistique, ou les noirs, blancs, sépias argentiques qu’on a pris du temps à développer. Les clichés couleurs n’en étaient pas moins fastidieux d’attente.

Qui se souvient de l’oubli de la pellicule de la sortie scolaire d’il y a 6 mois ou même 1 an, retrouvée au fond d’un tiroir?

Puis avec l’âge s’impose une autre image. Celle culturelle, sociétale. Plus symbolique, cette image-là. Plus insidieuse aussi. Et peut-être est-ce parce que mon enfance jonglait déjà entre 2 cultures, certainement aussi l’influence artistique d’une tante en particulier, mais très vite l’envie d’aller confronter mon monde à celui des autres m’a habitée. Mes parents m’ont offert la chance incroyable de pouvoir profiter de mes études pour cela.
Le design, ça coulait de source. Le textile dans un premier temps, puis l’image par la force des choses, la création graphique plus précisément. Et l’amour des mots. Parler plusieurs langues pour faire tomber les barrières.
Entre une cordonnerie familiale dans la commune de mon enfance, assister un styliste dans la préparation d’un défilé à la Fashion Week de Londres, le village des créateurs de Bruxelles, de Lyon, ou encore un envol improvisé vers le nord brésilien pour clôturer mon parcours étudiant… Tout un programme!
Bref, la vingtaine curieuse et avide de découvertes m’a confirmé cet adage: « une image vaut milles mots ».

C’est forte de toutes ces expériences que j’ai voulu créer eLLeBe Design.
L’envie féroce de mettre le doigt sur cette frontière précise entre la projection mentale et les mots utilisés pour la décrire. Celle aussi d’illustrer pour mieux comprendre un univers qui ne demande qu’à embarquer son auditoire. Entre visibilité numérique, transition digitale, présence sur les réseaux sociaux par le biais de représentations graphiques ou de vidéos plus complexes… Participer à l’élaboration de bases solides qui font la différence entre un rêve et la concrétisation d’un projet.

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eLLeBe Design, c’est avant tout la promesse de mettre toutes mes compétences au service de vos idées.